Police perso : Cristiani Corsi: Fede, Patria, e Razza di u Spiritu.
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jeudi 15 mai 2014

Fede, Patria, e Razza di u Spiritu.

  POUR UNE PRISE DE CONSCIENCE CONFESSIONNELLE EUROPÉENNE.





   En tant que nationaux catholiques corses, nous prenons soin de ne pas manipuler le discours religieux à des fins autres que celles qui sont les siennes. Néanmoins, nous affirmons, et affirmerons toujours que la foi se vit dans la vie publique, et que ni les lois civiles, ni quelconque politiquement correct ne doivent empêcher le croyant de s'épanouir dans sa foi, tant dans sa vie privée qu'au travail, à la ville, et à tout degré d'intervention dans la collectivité, afin qu'il puisse rester fidèle à ses principes sur la terre qui l'a vu naitre.


     C'est pourquoi nous sommes ouvertement opposés à tout relativisme concernant les notions de vérité ou de liberté, à tout laïcisme républicain, qui va de pair avec l'effacement des identités et l'acculturation des peuples, et que notre démarche s'inscrit dans la défense, la promotion, et la reconquête de nos racines européennes, Catholiques et Romaines, véritables forces ascendantes de la civilisation dont nous sommes tributaires. C'est en cela que le rapport identitaire à la religion reste un principe auquel nous ne dérogerons pas, et que la catholicité de la Corse est affaire de tous, croyants et non croyants, si nous voulons que notre culture continue de vivre et de se développer telle que nous l'avons reçue. La fidélité à ces racines est, selon nous, une véritable force de projection en avant, qualitative, et donnera à notre société les armes de se construire un avenir pérenne à sa dimension.
 
    Pour autant, nous ne nous sommes jamais fait les portes-voix d'appels à la haine. Par rejet de la laïcité et de tout relativisme, ce n'est pas d'hostilité envers les autres qu'il est question, mais de lutter contre la désagrégation de notre âme en tant que peuple, que communauté qui doit rester vivante. Nos positions sur des sujets tels que l'immigration "massive", ou d'autres bouleversements societaux (mariage, genre, politique, etc...) sont les prises de positions nécessaire à la reprise en main que doit opérer notre peuple de sa propre narration, sujets qui n'en restent pas moins risqués, voire, rédhibitoires.

   L'IMMIGRATION, par exemple. Chacun sachant compter, il est inutile ici d'expliquer que par manque de débouchés humain, dans un souci de proposer un avenir constructif à tout arrivant, l'immigration de masse continuelle et ininterrompue est une abjection tant pour ceux qui arrivent et sont par là même déracinés, que pour ceux qui accueillent, à qui on ne demande pas l'avis, même pas de manière démocratique. Concernant l'immigration nord-africaine, majoritairement de confession musulmane, la question n'est pas celle d'un rejet compulsif et inconditionnel, tant que le nombre et le prosélytisme ne remettent pas en question l'ADN culturel et religieux des localités qui accueillent. Phénomènes qui sont amenés à devenir inquiétants en Corse, dans les zones urbaines pour l'instant. Du fait d'un climat international tendu dans différentes régions du monde acquises à l'Islam, par la faute d'un impérialisme atlantiste, universaliste et niveleur, et de surcroit, chez nous, du fait d'une impossible intégration totale due au nombre, et à la naturelle "communautarisation" qui en découle, la société multi-culturaliste ne peut se faire et ne se fera pas.








   MAIS, vis-à-vis des dégénérescence morales et éthiques qui parasitent l'héritage spirituel de notre monde, certains débats peuvent néanmoins être considérés de la même manière par chrétiens ou musulmans. Avec toute la méfiance qui reste la règle, puisque le premier amour qui est du, est après Dieu celui des nôtres, la possibilité d'échanges partiels avec certaines composantes minoritaires de l'immigration ne demeure pas impossible.
  C'est le débat qui anime actuellement les milieux nationalistes et catholiques français. En tant que Corses, n'ayant pas à faire aux mêmes problématiques que les français sur ces questions, il reste néanmoins intéressant d'y garder un oeil attentif.

    Le blog catholique français "Le Rouge et Le Noir" livre une analyse assez intéressante sur la question. Nous vous le proposons ci-dessous:

Islam : ni alliance ni ignorance

On discute beaucoup, en ce moment, d’une hypothétique alliance avec l’Islam en vue de mettre en échec le laïcisme et la propagande LGBT. Pionnière en la matière, l’ancienne militante beur Farida Belghoul a en effet initié il y a quelques mois un projet intitulé « Journée de retrait de l’Ecole » (JRE) afin de protester contre l’enseignement de la théorie du genre dans les écoles publiques françaises. Elle n’a pas hésité à s’afficher aux côtés de catholiques de droite, tels Christine Boutin, Béatrice Bourges ou Alain Escada.
Dans le camp catholique et patriote, une telle alliance ne laisse d’étonner, et provoque des réactions diverses : acceptation parfois naïve, ou bien méfiance et hostilité affichée.
Il s’agirait de savoir de quoi l’on parle. Car enfin, de quelle Alliance discute-t-on ?
Que les choses soient claires : une alliance entre la Croix et le Croissant est impossible. D’un côté la Vérité, de l’autre l’erreur. Il faut être bien naïf pour croire que l’on puisse s’allier avec une religion qui, en plus d’être une spiritualité, est un système intégral, politique et juridique, ne laissant qu’une place dedhimmis aux catholiques que nous sommes.
Il faut aussi être bien aveugle pour ne pas voir dans la présence politique et militante de l’Islam en France une négation de notre Histoire et de notre identité.Non, vraiment, s’allier avec l’Islam est un projet funeste.
Ces rappels étant faits, il s’agit de se pencher sur la véritable question.
Le point n’est pas de savoir s’il est juste de s’allier avec l’Islam, mais plutôt de s’interroger sur l’opportunité de mener des actions ponctuelles aux côtés de musulmans. Non avec tous les musulmans, mais avec certaines personnes qui, oui, sont parfois musulmanes.
Je réponds par la positive : il peut tout à fait exister chez les musulmans des hommes de bonne volonté et de bonne conduite, prêts à nous appuyer pour contrer le progressisme, qui les heurte autant que nous.
Je réponds oui, mais pas sans condition. Les musulmans qui voudront, à l’instar de Farida Belghoul, ferrailler du côté des catholiques français, devront être français avant tout, et abandonner toute velleité de vivre chez nous comme en terre d’Islam. La France n’est pas une terre d’Islam et, grâce à Dieu, elle ne le sera jamais.
La seconde question apparaît alors. Ces quelques musulmans qui nous auront rejoints, sont-ils véritablement français ? Une chose est certaine : ils sont français de fraiche date, et nombre de leurs correligionnaires sont loin de briller par leur amour du drapeau national…
Mais ces alliés musulmans, seront-ils moins sincères et patriotes qu’un Français d’origine française ayant abandonné toute fierté identitaire, tout honneur et renié son héritage ? Certes, l’immigration venue d’outre-Méditerranée, par son caractère massif, modifie le corps ancestral de la France ; mais depuis plus de deux siècles, c’est un mal intérieur qui ronge l’âme de la France ! Ce mal, c’est la République laïciste ! Si des musulmans aiment la France d’un amour filial et considèrent que cette terre est belle lorsqu’elle est catholique et parsemée de clochers, pourquoi refuserions-nous leurs mains tendues ?
C’est là affaire de personnes, de circonstances et de vigilance. On ne s’allie pas à une idée, mais à des hommes de chair et d’os qui, par delà leur adhésion à une religion dont nous affirmons le caractère erroné, peuvent aimer la France réelle et charnelle, la France catholique et éternelle. Il semble que ce soit le cas de Farida Belghoul, qui appelait récemment sur son site à défiler en l’honneur de Jeanne aux côtés de Civitas afin de « bouter la théorie du genre hors de France  » car « sauver la pudeur et l’intégrité des enfants c’est aussi sauver les principes de la France chrétienne  »
De telles personnalités sont peut-être rares, mais leur aide peut nous être précieuse. Nous ne pouvons nous payer le luxe de les ignorer. Qui sait, peut-être ces quelques musulmans amoureux de la vraie France seront-ils les harkis du XXIe siècle ?
Laissons là les discussions sans fin sur le bien fondé d’une alliance avec l’Islam, qui n’aura de toute façon jamais lieu. Retournons plutôt vers le réel, sans nous priver de bonnes volontés d’où qu’elles viennent, pourvu qu’elles ne nous imposent rien.
Dans les assauts que nous mènerons à leur côtés, rien ne nous empêchera d’imiter notre aïeul Charles Martel, si jamais le besoin s’en fait sentir…


Article repris du blog catholique "Le Rouge et Le Noir".



I CRISTIANI CORSI.

http://cristianicorsi.blogspot.fr/2013/09/eglise-catholique-et-immigration.html

http://cristianicorsi.blogspot.fr/2013/11/de-la-verite.html

http://cristianicorsi.blogspot.fr/2013/11/di-liberta.html

http://cristianicorsi.blogspot.fr/2014/01/egalite-des-droits-ou-dictature-des.html

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